Entre la nuit, le jour, entre le temps d'avant et celui de toujours, pas d'ombre, ni de tourmants, que la pénombre et le souffle de l'enfant...Réal Lavergne 16 janv 2007
Très beau comme texte et image Réal. S'il en pouvait en être ainsi tout le temps, La misère ce n'est pas pour les chiens mais bel et bien pour les humains. Les valeurs disparaissent et toi tu reste seul à contempler le désastre, figer sur place en se demandant, il y a t'il autre chose que je peux faire, autre chose que je peux être, entre la nuit et le jour, dormir et dormir encore afin d'éviter le pire. La pénombre et le souffle des enfants devrait suffire mais on trouve le moyen de corrompre tout. Plus rien ne compte, on transige des données, transige des amitiés que l’on foule du pied à la moindre occasion. Les amours sont aussi pires, il n’y a plus rien de vrai, plus rien qui compte et sans explication, disparais. J’ai de la difficulté à survivre dans ce monde de fous, me sens comme trahis d’être encore en vie. Si seulement cela pouvait suffire, l’enfant en nous y retrouverais sa place, sa gaieté, son bonheur. Continu Réal, d’émettre, écrire et émouvoir le peuple à ta façon. Il y a au moins cela de bon, il y a toi, moi,. Et d’autres, faut ramer et continuer de se battre à contre-courant parce que l’on y croit. Merci et je t'aime, car on ne le dis jamais assez ces quelques mots à nos ami(e)s.
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Très beau comme texte et image Réal. S'il en pouvait en être ainsi tout le temps, La misère ce n'est pas pour les chiens mais bel et bien pour les humains. Les valeurs disparaissent et toi tu reste seul à contempler le désastre, figer sur place en se demandant, il y a t'il autre chose que je peux faire, autre chose que je peux être, entre la nuit et le jour, dormir et dormir encore afin d'éviter le pire. La pénombre et le souffle des enfants devrait suffire mais on trouve le moyen de corrompre tout. Plus rien ne compte, on transige des données, transige des amitiés que l’on foule du pied à la moindre occasion. Les amours sont aussi pires, il n’y a plus rien de vrai, plus rien qui compte et sans explication, disparais. J’ai de la difficulté à survivre dans ce monde de fous, me sens comme trahis d’être encore en vie. Si seulement cela pouvait suffire, l’enfant en nous y retrouverais sa place, sa gaieté, son bonheur. Continu Réal, d’émettre, écrire et émouvoir le peuple à ta façon. Il y a au moins cela de bon, il y a toi, moi,. Et d’autres, faut ramer et continuer de se battre à contre-courant parce que l’on y croit. Merci et je t'aime, car on ne le dis jamais assez ces quelques mots à nos ami(e)s.
Mignon :)
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